Omnimpelibea adi dolupta tiust, sust quis dolorem. Fictemodit. Ri incipsuntiae volum rernam nati sequam, con re el es eicidiam aperfernam anis sit quiatiunt. Omnimpelibea adi dolupta tiust, sust quis dolorem. Fictemodit. Ri incipsuntiae volum rernam nati sequam, con re el es eicidiam aperfernam anis sit quiatiunt.
close
TSAI Yi Ting
Tsai Yi Ting a co-fondé le collectif Winnowork, qui lui permet de collaborer avec des artistes qui s’intéressent à la sculpture ou encore à la mécanique et aux machines. Ses œuvres prennent la forme d’installations, de spectacles et sont souvent intégrées à l’espace public.
Tsai Yi Ting est née en 1981 à Taïwan. Elle a obtenu un master en beaux-arts à la National Taipei University of Arts (Taïwan). Elle a co-fondé le collectif Winnowork, qui lui permet de collaborer avec des artistes qui s’intéressent à la sculpture ou encore à la mécanique et aux machines. Ses œuvres prennent la forme d’installations, de spectacles et sont souvent intégrées à l’espace public.
L’artiste s’intéresse à l’art cinétique et au rapport entre le mouvement et le temps. La physique et la mécanique sont centrales dans ses œuvres. Elle interroge et détourne le fonctionnement des machines, qui s’intègrent selon elle à une réflexion plus large sur la vie.
Quelques oeuvres
An Endless History and its Laws
TSAI Yi Ting An Endless History and its Laws 2015-2016-2019, installation, Galerie Zola
Le projet artistique An endless history and its laws de Tsai Yi-Ting se compose de quatre installations : Somewhere in time, Weightlessness, Acceleration et Nonlinear Science of chaos. Ces quatre installations sont accompagnées de sons produits par des mécanismes visibles dans ces œuvres. Créant un effet de boucle infinie.
Somewhere in time, Weightlessness et Accélération fonctionnent grâce à une boucle de ceinture associée à deux cylindres en mouvement sur lesquels sont déposés une voiture miniature (Somewhere in time, Acceleration) et un écrou (Weightlessness). Les mouvements contraires de la ceinture et ceux de la voiture miniature et de l’écrou créent une boucle temporelle. Pour Nonlinear science of chaos le fonctionnement n’est pas le même : une aiguille souple sur laquelle est fixée une lumière part dans tous les sens en créant des formes abstraites puis revient à la normale.
Les indications temporelles sont brouillées surtout pour Weightlessness et Somewhere in time, il n’y a pas de début ni de fin l’action est répétée sans cesse et ces objets : analogies de la vie humaine créent un sentiment d’immense solitude, de monotonie face à l’éternité.
Une action répétée à l’infini perd tout son sens comme un état de régression perpétuel où il n’y a pas de but, de finalité.
Cette idée de cycle intemporel peut nous faire penser aux moments où nous sommes dans nos pensées les yeux dans le vide et déconnectés de la réalité, ces installations sont comme des parenthèses hors du temps ou il n’y a aucun élément extérieur, seulement le vide qui entoure la scène.
Ces quatres scènes ne sont ni impactées par les lois physiques ni par le temps qui passe.
Une action répétée à l’infini perd tout son sens comme un état de régression perpétuel où il n’y a pas de but, de finalité.
Cette idée de cycle intemporel peut nous faire penser aux moments où nous sommes dans nos pensées les yeux dans le vide et déconnectés de la réalité, ces installations sont comme des parenthèses hors du temps ou il n’y a aucun élément extérieur, seulement le vide qui entoure la scène.
Ces quatres scènes ne sont ni impactées par les lois physiques ni par le temps qui passe.