Une ligne horizontale qui vibre est projetée sur des écrans. Soudain, la ligne se démultiplie comme si elle était emprise d’une énergie fulgurante. En rythme, le corps d’Umeda sur scène, se met à trembler. Telle une décharge d’énergie sur l’écran, les mouvements du danseur semblent partir du bassin pour remonter jusqu’à la colonne vertébrale. Cette oeuvre est une réinterprétation des particules en apesanteur dans l’espace. Les algorithmes se retranscrivent dans les sons et les gestes, que l’artiste semble éprouver. Il se concentre sur la visualisation de flux de la force cinétique avec des images vidéo acquises à partir des données de captures du mouvement.