Partager
close
Oeuvres
Home / Les Contraires n2

Les Contraires n2

Les Contraires n2

A la manière d’un prisme, ce dispositif décompose la lumière blanche en un spectre de couleurs organisées en une suite de compositions géométriques, affichées par un écran à cristaux liquides modifié

Artistes liés
Expositions connexes

En plus de la transparence, cette modification rend possible la perception simultanée des deux aspects complémentaires de l’information de couleur : en positif et en négatif, selon que la lumière se réfléchit ou non sur le miroir, à l’arrière du prisme.

Notre vision binoculaire rencontre alors un paradoxe perceptif, ces motifs et couleurs étant tout à la fois perçus en tant que surface et comme espace, à l’intérieur du prisme. Notre raison est également troublée de constater qu’en fonction de notre point de vue, une même information peut délivrer des sens contradictoires.

Toujours autour des miroirs, l’artiste crée un miroir noir en rotation qui reflète et analyse la lumière provenant de l’anneau. Il révèle comme un prisme pourrait le faire, les couleurs contenues dans cette lumière blanche, qui varient toutes en fonction de la position du miroir et de celle du spectateur.

Dans son travail, la pierre est mise en lumière, elle ouvre sur une dimension cachée, comme un univers parallèle qu’elle semble contenir, concentrant l’espace dans son volume fini. Théry travaille essentiellement le rapport qu’entretien la lumière avec la matière qu’elle rencontre. Ses recherches s’inscrivent dans le sillage de l’art optique et cinétique. Son questionnement sur la nature de la réalité chemine entre art et science, faisant la part belle à la lumière.



Connexion
Pas encore inscrit ? Mot de passe oublié ?
fermer Définition
Le mot à définir :
Omnimpelibea adi dolupta tiust, sust quis dolorem. Fictemodit. Ri incipsuntiae volum rernam nati sequam, con re el es eicidiam aperfernam anis sit quiatiunt. Omnimpelibea adi dolupta tiust, sust quis dolorem. Fictemodit. Ri incipsuntiae volum rernam nati sequam, con re el es eicidiam aperfernam anis sit quiatiunt.